... ça sert à rien mais ça tient chaud...
Aldebert - Quelle heure est-t-il ?

Premier post d’Allemagne.

J’ai fait ce sac cet été. Le patron vient du magazine Burda de juin. J’aime cet immense fourre-tout aux inspirations africaines !

... au delà de la banalité du quotidien. Être capable de se transformer en quelque chose de mieux, même si personne ne croit en vous. - Neverland

Acrylique,feutre et collage sur toile, 40x60 cm
Cadeau pour M.


 

Moi je dis qu'il n'a de bornes que l'imagination !
Rodrigue - Le jour où je suis devenu fou

Acrylique et encres sur carton, 73x87cm







Acrylique et collages sur carton, 50x65cm

Rodrigue - Être humain

Pour ce sarouel j’ai utilisé les explications de Parfum du ciel, du lin noir … et voilà ! Il a été porté tout l’été !

Georges Bernanos

M. a passé une «semaine créative » chez moi. Elle avait vu un haut comme celu i là dans une vitrine à Strasbourg et à voulu en refaire un dans le même esprit. Un petit tour chez Bouillon de couture … et voilà le résultat (le pull gris).
Comme je trouvais son idée sympa j’ai fait la même chose sur une de mes chemises avec un bout de tissu que je lui ai chipé !

Ensuite je me suis attaquée à son T-shirt à grande aide de liberty, conséquences ci-dessous !

Camille

J’ai fait cette jupe à partir d’un patron Burda, trouvé dans un magazine qui date de 1995 ! Je l’ai largement modifié, au départ elle était taille haute !  Elle était rapide et simple à faire. Comme elle est coupée dans un tissu fait d’un mélange de soie et de coton (trouvé à Sainte-Marie-aux-Mines) elle est super agréable à porter.

... Et la mer est si sucrée que ses icebergs sont des sorbets !
Rodrigue - Le jour où je suis devenu fou

Parce qu’en crochet la gourmandise n’est pas un vilain défaut !

Modèle fait maison.

C'est Dieu qui pleure le sang du monde,
Mais il y a Olga la blonde, celle qu'on appelle "Espoir"
Et celle qui espère refaire le monde,
Un monde fait de lumière et de neige en été,
Et de soleil d'hiver et de nuit d'amour.

Saez - Saint-Petersbourg

Mes débuts en tricot … une écharpe toute simple au point mousse. Je la voulais super longue pour avoir super chaud ! Et bien du coup elle a aussi été très longue à réaliser (en plus le point mousse c’est ennuyeux !). Mais maintenant je suis une professionnelle du point mousse !

J’ai utilisé 6 pelotes de Toison de chez Bergère de France, c’est ce qui fait tout le charme de l’écharpe : elle est toute douce ! Je l’ai agrémentée d’une fleur trouvé à la Droguerie.

Et voilà ! Je suis parée pour l’hiver !
(Petite anecdote : il faisait au moins 30°C quand la photo a été prise … un peu hors saison !). Reste plus qu’à attendre un peu (il ne devrait pas tarder à arriver !).

Jules Renard

Cette fois ce n’est pas de moi … c’est fait par D., il nous les a offertes à M. et moi un matin en nous attendant à l’arrêt de tram !

Merci pour toute ta gentillesse et ta joie de vivre.

Les ogres de Barback

"Je pense que l'humanité n'est pas nécessairement la favorite de la nature, que l'humanité peut très bien disparaître, que nous ne sommes pas une espèce sacrée, qu'il y a eu dix millions d'espèces animales jusqu'ici tandis que neuf millions ont été éliminées. On n'est pas l'espèce élue comme on l'a cru pendant longtemps, la nature peut très bien se passer de nous. Dans un millénaire on parlera encore de ce millénaire. On ne sait jamais ce que le passé nous réserve mais l'avenir ne reviendra pas. Et dans ce millénaire, c'est ce siècle qui fera date, et qui fera tâche, un siècle de turpitudes. Nous en sortons exténués, inhibés, esquintés, la queue entre les jambes de l'humanité. Nuit et goulags, charniers et brouillard. Dans la nuit les feux d'artifices projettent les ombres de la Kolima, d'Hiroshima et des trains pour Auschwitz, plutôt que le premier pas d'un homme sur la lune. Einstein tire la langue ou la beauté d'un Lagardère. Mais l'une des ruses de l'histoire veut que les siècles commencent et finissent là où ils veulent. Ainsi de Sarajevo à Sarajevo notre siècle a pris fin dans les débris de la chute du mur de Berlin. Fini le siècle des grandes impuissances, voici venu le siècle de l'évidence. Fin de l'histoire, pensée unique, nouvel ordre mondial. "Plus rien à voir, circulez !" Nous avons obtempéré, nous circulons, sans rien voir."

Coup de gueule. J'aime beaucoup. Merci sœurette pour cette découverte.